La récente déclaration de Robert Bourgi, conseiller officieux des cercles de pouvoir français, contre Alassane Ouattara, Président de la Côte d’Ivoire, soulève de nombreuses interrogations. Pourquoi cette attaque soudaine que maintenant après trois mandats du Président Ivoirien ? Que cherche-t-on réellement à obtenir en jetant ainsi le discrédit sur le Président ivoirien ? La réponse semble pointer vers une tentative orchestrée pour déstabiliser le système politique ivoirien, avec des intérêts bien plus complexes en jeu.
Monsieur Robert Bourgi, connu pour ses liens étroits avec les milieux politiques français et africains, n’est pas un simple observateur. Ses déclarations ont souvent été perçues comme les prémices de mouvements plus vastes, souvent influencés par la politique étrangère française en Afrique. Cette sortie surprend par son timing : après avoir gardé le silence pendant plus d’une décennie de gouvernance d’Alassane Ouattara, pourquoi se prononcer maintenant ? Cette intervention tardive laisse à penser que la France, autrefois alliée du Président Ouattara, pourrait être en train de réévaluer ses priorités et alliances en Côte d’Ivoire.
Si la France a effectivement décidé de lâcher le Président Ouattara, quelles en seraient les raisons ? Certains observateurs y voient une stratégie plus insidieuse visant à influencer le paysage politique ivoirien à l’approche de la prochaine échéance électorale. En affaiblissant le Président Alassane Ouattara, la France pourrait tenter de redessiner les alliances politiques en Côte d’Ivoire pour installer un pouvoir plus conforme à ses intérêts.
Cette intervention du mafieux Bourgi n’est pas anodine. Elle semble être une incitation déguisée à la déstabilisation du système politique ivoirien.
Le peuple doit rester vigilant, analyser les enjeux, et défendre sa souveraineté face à toute tentative de manipulation.