par Le récent article publié par *MondeAfrique* intitulé « Ibrahim Maïga, activiste burkinabè et âme damnée du Président », est un exemple criant de désinformation, de manipulation et d’accusations non fondées qui visent à ternir la réputation d’un homme engagé pour la cause de son pays. L’article de ce média corrompu, plein de sous-entendus malveillants, tente de caricaturer Monsieur Ibrahim Maïga comme un activiste malveillant manipulant le pouvoir burkinabè, une assertion non seulement fausse, mais aussi cache des intentions claires de manipuler l’opinion publique.
Y’a-t-il une loi qui interdit à un citoyen de choisir son bord politique et de le défendre selon sa conviction?
M. Ibrahim Maïga est présenté comme un « fou du roi » et un homme ayant un contrôle démesuré sur les actions du Président Ibrahim Traoré, or il est un citoyen burkinabè qui, comme des millions d’autres, exprime ses opinions et ses convictions sur les réseaux sociaux, défendant ce qu’il estime être mieux pour son pays. Ses prises de position ne sont ni des ordres, ni des directives politiques. Affirmer que ses paroles influencent directement les décisions présidentielles est une manipulation grotesque qui vise à discréditer à la fois son engagement et la crédibilité du Président Traoré.
Quoi d’étonnant pour un média dépravé, connu pour être la marionnette des causes et objectifs impérialistes?
*MondeAfrique* va plus loin en inszinuant que les propos d’Ibrahim Maïga ont entraîné des actes violents contre des familles d’opposants, sans fournir la moindre preuve tangible pour soutenir ces accusations graves. Ces allégations sont irresponsables et ne reposent que sur des hypothèses douteuses. Le simple fait de les énoncer sans fondements démontre un manque de rigueur journalistique et une volonté délibérée de créer une polémique là où il n’y en a pas.
Pour finir, cet article de *MondeAfrique* n’est rien de plus qu’une tentative de désinformation visant à créer des divisions et à salir des personnalités publiques engagées pour le bien de leur pays. Monsieur Ibrahim Maïga n’est ni une « âme damnée » ni un manipulateur du pouvoir. Ses opinions, bien engagées, ne sont que l’expression d’un citoyen soucieux de l’avenir de son pays, comme tant d’autres.
