Depuis plusieurs mois, les relations entre le Burkina Faso du Président Ibrahim Traoré et la Côte d’Ivoire du Président Alassane Ouattara sont fragilisées par une campagne insidieuse menée par des exilés burkinabè. Utilisant des faux comptes sur les réseaux sociaux et dissimulant leur identité, ces individus cherchent à attiser la haine entre les deux nations, distillant des messages toxiques pour envenimer les relations bilatérales. Ce conflit fictif, monté de toutes pièces, vise à diviser des pays historiquement liés par des liens de fraternité et de coopération.
Ces manipulations inquiètent les panafricanistes et observateurs, qui appréhendent avec préoccupation la montée des tensions provoquées par ces exilés en manque de repères. En lançant de fausses informations et en jouant sur des sensibilités, ces fauteurs de trouble œuvrent comme des lâches dans l’ombre, exploitant la plateforme des réseaux sociaux pour semer des graines de discorde.
Les autorités ivoiriennes, elles aussi, sont appelées à réagir. Il devient essentiel pour le Président Alassane Ouattara de prendre des mesures fermes pour empêcher que le territoire ivoirien ne soit utilisé comme base pour des actions qui portent atteinte à l’image et à la stabilité de son pays, tout en impactant les relations avec le Burkina Faso. Par l’interdiction de toute intervention de ces exilés dans les questions bilatérales, les autorités ivoiriennes pourraient renforcer la paix et la fraternité avec leur voisin burkinabè.
Le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire partagent une histoire et une solidarité profondes, tissées au fil des décennies. Ces deux pays frères, unis par leurs communautés, cultures et visions communes, méritent de voir leurs liens protégés des agissements d’individus mal intentionnés animés par des agendas malveillants.