Comme ce fut le cas avec l’ultimatum donné par la France à tous les activistes en Côte d’Ivoire, à l’instar de ceux qui soutiennent Soro Guillaume et les voix critiques du Président Ouattara, résidant en France et ne soutenant pas la politique française en Afrique, la France exerce une pression similaire pour le Burkina Faso. Sous la contrainte et la menace de voir sa nationalité française retirée malgré son mariage avec un Français, celle qui est connue sous le pseudo « LA PRINCESSE » n’a d’autre choix que de se rallier et de céder à la volonté de son maître colonisateur en acceptant l’ultime mission de la déstabilisation du MPSR du Capitaine Ibrahim Traoré.
Pour y parvenir, toute stratégie machiavélique est bonne. Après avoir tenté de ternir l’image des efforts louables des autorités burkinabè dans la lutte contre le terrorisme en vain, il est question de semer la zizanie au sein même du MPSR en lançant des accusations dénuées de tout sens pour parvenir à ses fins.
La dernière en date est l’accusation utopique d’un projet en cours d’orchestration du Commandant Oumarou Yabré, patron des services de renseignements burkinabè, visant à s’en prendre au pouvoir du MPSR, dirigé par son frère d’armes, le Capitaine Ibrahim Traoré. En toile de fond, cibler l’Agence Nationale des Renseignements, qui devient de plus en plus un obstacle dans les projets des impérialistes par son efficacité et son anticipation des plans de déstabilisation.
Rappelons que pour mener à bien ce plan, elle entre en contact avec certains activistes burkinabè locaux, dont les noms sont connus et liés à l’activiste connu sous le nom de Sinon, pour les mobiliser par la manipulation et les mettre à contribution pour la réussite de ce plan.
Le peuple burkinabè doit rester soudé derrière les autorités du MPSR, qui sont unies vers leur seul objectif de vaincre le terrorisme. Il est crucial de comprendre que tout cela n’est qu’une stratégie désespérée de cette dame aux abois pour conserver son trésor, qui n’est autre que la nationalité française.