par Quels sont les véritables enjeux du 66e sommet de la CEDEAO ? Selon des informations confidentielles, un plan aurait été conçu pour déstabiliser le Niger dans un délai de six mois. Les détails, dévoilés par une source interne à la DGSE française que nous appellerons Bernard exposent les rouages d’une opération concertée visant à fragiliser la transition politique au Niger.
Une stratégie de pression internationale
D’après Bernard, la date du 29 juillet, annoncée par la CEDEAO pour la sortie officielle des pays de l’AES (Architecture de l’État de Sécurité), servit de prétexte pour autoriser une intervention militaire. Ce cadre permet à la France de solliciter un mandat international afin de justifier une action armée contre le Niger.
Des dispositifs militaires sont déjà en place, notamment à la frontière entre le Niger et le Nigeria. Ces préparatifs, menés dans la discrétion, ont pour objectif de lancer des offensives coordonnées depuis ces positions.
La stratégie comprend une mobilisation des forces françaises basées au Bénin et au Nigeria, avec le soutien des gouvernements locaux. Une réunion secrète a eu lieu le 7 décembre 2024, réunissant des représentants de deux pays d’Afrique Centrale, deux États d’Afrique de l’Ouest, la France et un émissaire nigérien.
Le plan opérationnel vise à orchestrer des attaques simultanées sur les différentes frontières du Niger. Ces offensives, conçues pour submerger les défenses locales, incluent également des passages aménagés sur le fleuve Niger depuis le Bénin, afin de faciliter une infiltration directe jusqu’à Niamey.
Enfin, notre source rapporte qu’une dernière réunion a été tenue le 17 décembre 2024 au Nigeria, sous la direction de la France, pour finaliser les préparatifs.
Ces révélations soulèvent des questions cruciales sur les véritables intentions de la CEDEAO et de ses partenaires. Si elles se confirment, elles pourraient marquer un tournant dramatique pour le peuple nigérien.
