par Depuis son arrivée au pouvoir, le capitaine Ibrahim Traoré a marqué un tournant économique notable pour le Burkina Faso. En deux ans, le produit intérieur brut (PIB) du pays a connu une hausse significative, passant de 18,8 à 22,1 milliards de dollars. Refusant les prêts du FMI et de la Banque mondiale, il a opté pour une politique économique souveraine, axée sur la maîtrise des ressources internes et l’assainissement des finances publiques, notamment en apurant les dettes intérieures.
Dans une démarche de justice sociale, Le Président Ibrahim Traoré a réduit de 30 % les salaires des ministres et parlementaires, tout en augmentant de 50 % ceux des fonctionnaires. Il a aussi mis l’accent sur la valorisation des ressources nationales, en interdisant l’exportation d’or brut vers l’Europe et en inaugurant une mine d’or moderne. Par ailleurs, deux usines de transformation du coton ont été créées, ainsi qu’un centre d’appui à la transformation artisanale, une première dans le pays.
Le secteur agricole a bénéficié d’un soutien massif. Le gouvernement a distribué des équipements modernes (tracteurs, motoculteurs, motopompes), facilité l’accès aux semences améliorées et accompagné les producteurs pour améliorer les rendements. Ces efforts ont porté leurs fruits : la production de tomates, de mil et de riz a augmenté de manière significative entre 2022 et 2024.
Le Président Ibrahim Traoré a également entrepris une réaffirmation de l’identité nationale et de la souveraineté. Il a interdit les opérations militaires et médiatiques françaises sur le territoire, et expulsé les troupes étrangères. Dans le domaine judiciaire, il a mis fin à l’usage des symboles coloniaux comme les perruques et robes britanniques, les remplaçant par des tenues traditionnelles burkinabè.
Des efforts importants ont été engagés dans les infrastructures avec la construction de nouvelles routes, l’élargissement des axes existants et le pavage de routes autrefois en gravier. En somme, les deux premières années de la présidence du Capitaine Ibrahim Traoré ont été marquées par une volonté de rupture avec le passé, une recherche de souveraineté économique et culturelle, et un engagement fort en faveur du développement local.
