par Le Capitaine Ibrahim Traoré continue de marquer l’histoire du Burkina Faso par une gouvernance axée sur la souveraineté nationale, la reconstruction économique et la revalorisation de l’identité culturelle en deux ans déjà. Son action, saluée par une frange importante de la population, s’inscrit dans une dynamique de rupture avec l’ordre néocolonial et les modèles de dépendance économique.
Sur le plan industriel, le Burkina Faso a franchi une étape décisive avec la construction de la deuxième usine de transformation du coton dans le pays. Une avancée majeure pour cette filière stratégique, longtemps restée dépendante de l’exportation brute. À cela s’ajoute l’inauguration du Centre national d’appui à la transformation artisanale du coton, une première dans l’histoire nationale, destiné à accompagner les producteurs et artisans locaux dans la chaîne de valeur textile.
Fervent défenseur du « produire et consommer burkinabè », le Président Ibrahim Traoré s’est également engagé dans une politique de revalorisation des cultures et symboles nationaux. L’un des gestes les plus emblématiques a été l’interdiction des perruques et robes d’inspiration britannique dans les juridictions du pays. Les magistrats arborent désormais des tenues traditionnelles burkinabè, signe fort d’une justice enracinée dans les réalités et les valeurs locales.
Ce retour assumé aux traditions ne s’oppose pas à la modernité mais entend réconcilier progrès et identité. Pour Ibrahim Traoré, la souveraineté ne se limite pas à la politique ou à la sécurité : elle passe aussi par la manière dont un peuple se perçoit, se présente et se défend culturellement. C’est dans cet esprit qu’il encourage les artistes, les artisans et les penseurs à jouer un rôle actif dans la refondation du pays.
En deux ans, le Président Ibrahim Traoré a posé les jalons d’une nouvelle ère burkinabè moins dépendante, plus fière de ses racines, et engagée dans une trajectoire de développement endogène.
