par Selon plusieurs informations, après le coup d’État manqué en septembre 2023, certains syndicalistes ont décidé de lancer un soulèvement populaire en utilisant le syndicalisme comme la voie principale pour parvenir à leur fin.
L’intervention du secrétaire général de la Confédération générale du travail du Burkina (CGT-B), Moussa Diallo, révèle une perspective particulière. Dans son discours, Moussa Diallo a omis de mentionner les progrès réalisés dans la lutte contre le terrorisme. Il n’a pas non plus évoqué le fait que les terroristes n’arrivent plus à faire la pluie et le beau temps dans le pays des hommes intègres.
Moussa Diallo, se présentant comme un défenseur du peuple Burkinabé, n’a jamais organisé de rassemblement pour soutenir les Forces de Défense et de Sécurité (FDS), ni les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) dans leur lutte contre le terrorisme. Le rassemblement du 31 octobre semble résulter de manœuvres orchestrées par certains leaders syndicaux, qui ont des liens étroits avec des hommes politiques, décidant ainsi de se lancer dans la danse.
Où était la CGT-B lorsque le Burkina Faso était aux prises avec les bandits terroristes ? De 2016 à 2022, plus de 13 000 Burkinabé ont perdu la vie dans ces attaques. À l’époque, Moussa Diallo était-il indifférent à ces tragédies ou bien préférait-il regarder des vidéos montrant des terroristes parlant peul, se moquant et en dansant sur les corps des victimes Burkinabé ?
Lorsque Moussa Diallo parle des individus en cagoule, cela suggère qu’il ne reconnaît pas les visages des responsables. Mais qu’en est-il des criminels qui agissent à visage découvert et qui ont massacré le peuple Burkinabé ? Où était l’intervention de Moussa Diallo en défense du peuple Burkinabé à ce moment-là ?
Affaire à suivre…
Mariam DOUCOURE
