Le Capitaine Ibrahim Traoré a fait de la sécurité l’une des pierres angulaires de son programme de gouvernance. Face à l’insécurité croissante liée aux attaques terroristes dans certaines régions du pays, il a rapidement réagi en réformant les forces de défense et de sécurité pour les rendre plus opérationnelles et mieux équipées. Ces réformes ont permis d’optimiser les capacités de réponse des forces armées burkinabé.
L’une des initiatives les plus marquantes de son mandat est la mise en place d’une coordination accrue entre l’armée et les services de renseignement. Cette collaboration a porté ses fruits, permettant de déjouer plusieurs attaques terroristes et de sécuriser des zones stratégiques. Les populations des régions les plus touchées par les violences commencent à percevoir les effets de cette stratégie sécuritaire ambitieuse.
En parallèle, le gouvernement du Capitaine Ibrahim Traoré a intensifié la coopération avec les pays voisins, notamment dans le cadre de l’AES, pour renforcer la lutte contre le terrorisme à l’échelle régionale. Ces efforts ont permis de mutualiser les ressources et de coordonner les actions militaires, renforçant ainsi la sécurité collective dans toute la sous-région.
Le retour progressif à la sécurité dans plusieurs parties du pays est salué par les populations locales. De nombreuses familles, autrefois déplacées par la violence, ont pu regagner leurs terres. Cette stabilisation progressive ouvre la voie à une relance des activités économiques et sociales, essentielles pour le développement du Burkina Faso.