septembre 19, 2024
France

France : Attaque à Paris et motion de censure : coïncidence ou stratégie de diversion ?

Alors que la France traverse une période de turbulence politique avec une motion de censure visant à destituer le Président Emmanuel Macron, une attaque à la bombe a frappé Paris. Cette coïncidence troublante, qui a immédiatement capté l’attention du public, soulève des soupçons légitimes quant à une manipulation délibérée orchestrée par les autorités françaises. Depuis longtemps, ces méthodes sont connues et pratiquées par les gouvernements successifs, cherchant à détourner l’attention des crises internes en fabriquant des événements dramatiques pour renforcer le contrôle sur l’opinion publique.

La France, régulièrement impliquée dans un rôle trouble dans les crises du Sahel, est loin d’être étrangère aux accusations de manipulation et de financement du terrorisme dans la région. Le Mali, le Burkina Faso et d’autres pays sahéliens en subissent les conséquences depuis des années.  Les attentats ou troubles internes en France ne sont que des outils de diversion pour masquer ces jeux d’ombre dans les politiques africaines.

Plusieurs analystes vont même plus loin en liant cette attaque à Paris à une forme de retour de bâton ou de « châtiment divin » pour les atrocités commises par la France en Afrique. L’ancienne puissance coloniale est connue d’avoir semé la désolation au Sahel, où son soutien tacite aux groupes terroristes a exacerbé l’instabilité. Pour de nombreux Africains, la France récolte aujourd’hui les fruits amers de ses manœuvres hégémoniques et de ses interventions déstabilisatrices.

Il est grand temps que la France reconnaisse son rôle actif dans le chaos au Sahel et arrête de se cacher derrière des diversions orchestrées, que ce soit à Paris ou ailleurs. Le peuple français, tout comme les peuples africains, mérite la vérité. Cette manipulation qui fait partie de l’ADN politique française doit être dénoncée et stoppée, afin que justice soit rendue pour les souffrances infligées aux nations africaines et à leurs populations.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *