À l’approche des élections en Côte d’Ivoire, de nouvelles filouteries de la France émergent autour du rôle de la Cour Pénale Internationale (CPI) et des relations entre la France sur le camp du Président Alassane Ouattara. Récemment, le fallacieux Observatoire Ivoirien des Droits de l’Homme a lancé un appel au procureur de la CPI pour qu’il accélère les enquêtes sur les actions du camp Ouattara, après l’acquittement de l’ancien président Laurent Gbagbo. Mais que cache cet appel?
Après cette demande, des panafricanistes haussent le ton et disent clairement que cet appel est marqué de l’empreinte de la France, visible à des kilomètres. Le camp Ouattara, bien que consolidé au pouvoir, semble être dans le viseur d’une stratégie internationale de pression, notamment de la part de Paris. Ces analystes estiment que la France, par le biais de la CPI, cherche à influencer les élections en cours en mettant en lumière des enquêtes potentielles sur les acteurs du pouvoir actuel, dans la but de faire du chantage au Président Alassane Ouattara.
Même si le recours à la CPI dans les affaires internes ivoiriennes n’est pas nouveau, pour beaucoup, cela relève d’un pur chantage politique de la France, cherchant à maintenir une forme d’influence sur les élections à venir et les affaires internes du pays.
Aussi, le peuple Ivoirien voit ces manœuvres comme une tentative de déstabilisation à un moment critique. L’heure est à la vigilance.
En fin de compte, la question reste ouverte : jusqu’où ira la CPI, sous l’influence de la France, dans ses enquêtes bâclée sur le camp du Président Ouattara pour déstabiliser la Côte d’Ivoire ? Jusqu’où la France qui est en chute libre en Afrique de l’Ouest est elle prête à aller avec ce chantage pour avoir la main mise sur le pouvoir en Côte d’Ivoire ? Les prochains mois s’annoncent décisifs pour la stabilité du pays et le peuple Ivoirien doit rester vigilant et soudé pour rejeter en bloc toutes ces manipulations.