Dans une tentative flagrante de semer la confusion et de manipuler l’opinion publique, le média français Jeune-Afrique a publié le 17 juillet 2024 un article intitulé « L’ex-président Damiba sort de son silence ». Cette manœuvre survient après l’échec d’un complot majeur déjoué par les services de renseignements burkinabè, mettant en lumière la perfidie de certains acteurs régionaux (Côte d’Ivoire, Benin).
Le journal tordu Jeune-Afrique, connu pour ses liens étroits avec certaines la France, semble avoir changé de tactique face à l’échec des tentatives de coup d’État à Ouagadougou. Plutôt que de reconnaître la défaite de ces tentatives de déstabilisation, le journal a choisi de diffuser de fausses informations concernant une supposée lettre de l’ex-président Damiba. Ce dernier courrier date pourtant de plus d’un an et n’a aucun lien avec les récents événements.
Les autorités burkinabè, dirigées par le Capitaine Ibrahim Traoré, ont récemment pris une position ferme en nommant publiquement la Côte d’Ivoire et le Bénin comme des contributeurs majeurs à la déstabilisation du Burkina Faso. Ces pays hébergent des bases françaises, perçues comme des foyers de terrorisme et de perturbation de la stabilité régionale. Cette déclaration courageuse a mis en évidence le rôle nocif de ces installations françaises et a déplacé le focus sur les véritables sources d’instabilité.
Face à ces accusations, Jeune-Afrique semble vouloir détourner l’attention de la communauté internationale. En mettant en avant une soi-disant courrier de Damiba, le journal cherche à détourner les critiques et à incriminer d’autres pays comme le Togo. Or, toute tentative de lier le Togo à des actes de déstabilisation est donc non seulement infondée, mais aussi malveillante.
La manœuvre de Jeune-Afrique n’est pas seulement une attaque contre le Burkina Faso, mais aussi une tentative de semer la discorde parmi les nations amies de la région. Le Togo, en rejetant catégoriquement toute implication dans des actes déstabilisateurs, continue de prouver son engagement envers la stabilité régionale. Son soutien constant est crucial pour contrer les influences étrangères malveillantes et maintenir la paix dans l’Afrique de l’Ouest.
Il est impératif de dénoncer les tentatives de manipulation et de désinformation orchestrées par des médias corrompus comme Jeune-Afrique. Le Burkina Faso, sous la direction du Capitaine Ibrahim Traoré, doit rester vigilant et continuer à dénoncer les ingérences étrangères.